Développement durable
Le développement durable est le croisement de l’économie, du social et de l’environnement avec une méthode, la gouvernance.
C’est donc pour assurer la cohérence de l’ensembe des propositions que notre action s’inscrira de manière transversalle dans cette logique.
Pour cela nous souhaitons la mise en place d’un Agenda 21 sur Vailhauquès, gage d’une prise en compte des problématiques environnementales que nous connaissons aujourd’hui.
C’est l’outil mis en place lors de la conférence mondiale de Rio pour mettre en application localement, les logiques du développement durable. Cela se fait en premier lieu par un travail de diagnostic (Bilan carbone, diagnostics de performance énergétique, inventaire de la biodiversité, potentialités économiques, situation sanitaire et sociale…), puis par l’élaboration au travers d’ateliers publics, avec les habitants et les autres acteurs de la vie publique, d’un Plan Climat Territorial et d’un programme d’actions.
Ce programme concerne la mise en place d’une nouvelle gouvernance, la maîtrise de l’urbanisation avec notamment la lutte contre l’étalement urbain et le mitage. C’est aussi, une réflexion sur les modes de déplacement et la préservation des milieux naturels et agricoles, les cours d’eau tout particulièrement.
C’est s’engager à construire des bâtiments de Haute Qualité Environnementale performants sur le plan énergétique et encourager les citoyens à faire de même en incitant à la construction de maisons passives, en informant et en aidant aux recheches de subventions pour les systèmes de récupérations d’eau de pluie, pour l’amélioration des isolations et des appareils de chauffage, pour l’utilisation d’énergies renouvelables.
C’est continuer le travail, pour améliorer encore la gestion des déchets, avec sans doute un travail sur le compostage.
C’est aussi s’interroger sur le développement économique avec une zone de Bel air motrice d’un développement de technologies vertes et de filières bio-alimentaires, avec une réflexion sur l’action sociale, de la petite enfance, à la première recherche d’emplois, à l’insertion même via des relations abouties entre l’économie et le social.
C’est enfin s’interroger sur nos modes de production et de consommation, en aidant l’installation de nouveaux agriculteurs suite aux déprises de la vigne sur notre territoire, c’est envisager un marché paysan et une haute qualité alimentaire pour nos enfants, en faisant appel à des filières biologiques ou raisonnées.